Le 24 juillet 2024, les autorités françaises ont arrêté à Saint-Etienne un membre du staff de l'équipe féminine canadienne de football, soupçonné d'avoir filmé avec un drone un entraînement de l'équipe féminine néo-zélandaise ! Et l'équipe féminine canadienne de football s'apprête à affronter l'équipe féminine néo-zélandaise de football aux Jeux olympiques.
L'employé a utilisé un drone pour filmer en secret l'équipe rivale de football féminin néo-zélandais en train de s'entraîner. Le Comité olympique canadien a publié une déclaration : « Nous sommes choqués et déçus par l'insistance du Comité olympique canadien sur le fair-play. Nous présentons nos plus sincères excuses à l'équipe de Nouvelle-Zélande, à toutes les joueuses concernées et au Comité olympique néo-zélandais. » Les deux parties discutent des prochaines étapes avec le CIO, le comité d'organisation de Paris et la FIFA.
Les incursions de drones ne se limitent pas aux champs de bataille, mais également aux terrains de sport. Les Jeux olympiques de Paris sont confrontés à un énorme défi en matière de drones. L'équipement anti-dronet de Groupe SOBO jouera également un grand rôle aux Jeux olympiques.